une mélancolie habitée par
la noirceur des paysages traversés.
paysage urbain souligné par les lumières puis
paysage de campagne dans le noir d'encre.
Regard perdu dans le fond sombre dans
un train lumineux comme un jour d'été.
La vitre me force à une mise au point sur
mon reflet,
faute de percer la noirceur extérieure,
laisse apparaître deux traits parallèles,
sur mon front, deux sillons que
ne trahissent pas encore,
mon miroir du matin.
Qui se révèlent le soir,
pour hanter mon cauchemar,
vieillir.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire